Semaine de l’engagement, le témoignage de Mireille Mouéllé

Par Mireille Mouéllé, Meudon

Militer c’est agir par vocation, par humanisme, par civisme, par appartenance citoyenne ou partisane. L’on donne de sa personne, de son temps, par amour, par patriotisme, en harmonie ou sacrifice à son pays. L’on reçoit du peuple, de ses amis militants ou non, de sa famille, des rencontres faites.

J’ai cherché à connaître l’homme, à comprendre ce qui l’animait tant. Je ne voulais plus être floutée par ces colibets journaleux. En ayant découvert derrière son charisme le vrai Nicolas Sarkozy, il est sans le savoir devenu le vecteur de mon investissement. C’est ainsi qu’anonymement d’abord je me suis engagée à ces côtés.

Avec lui, j’ai en commun de croire aux valeurs de l’Union pour le Mouvement Populaire, de la patrie, en autrui, J’ai à dessein de défendre avec conviction toute cause juste et louable. J’ai le devoir d’oeuvrer à l’amélioration de la République, d’utiliser tous les talents dans ce chantier d’envergure.

Militer c’est mettre en exergue des facultés : écouter (même son énnemi de qui l’on apprendra plus de choses sur soi que par son ami), aller au charbon même lorsque l’on est critiqué par sa famille politique, critiques qui parfois peuvent être bléssantes ou constructivent. Cultiver l’esprit et le travail collégial où individualisme et égo ne doivent pas avoir cours sinon c’est gars à l’échec.

La militante que je suis a grandi, à travers des plaisirs, des rencontres fortuites ou non. Parfois confronter à des lenteurs. J’ai appris à tirer les enseignements d’échecs qui formeront nos succès à venir, que pour faire de la politique il faut une âme patiente.

Il peut arriver que les choses dont l’on aient le plus peur, que l’on craignent le plus, soient celles qui nous apporterons le plus de bonheur. Le palmarès s’écrivant par la sueur et l’adversité.

Aujourd’hui mes engagements sont : politique, associatif, social, scolaire (caritatif). Ensemble ils forment la pierre angulaire de mon épanouissement, où la lassitude est secondaire. Il faut semer et ne pas cesser d’arroser pour obtenir une floraison fertile qui sortira de terre. Je m’associes avec audace et témérité partagée au plus grand nombre de projets forestois (meudon-la-fôret), meudonnais, départementaux, régionaux nationaux, internationaux. Etre là où il faut, non pas pour paraître mais pour agir éfficacement.

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