Olivier BODO, candidat à Chatillon

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Olivier BODO, 34 ans, Conseil en Entreprise

Originaire de la région parisienne, nous nous sommes, ma compagne et moi, sédentarisés sur Chatillon en 2010. Mon intérêt pour la politique s’est transformé en engagement puis en militantisme à l’occasion des élections présidentielles de 2012.  A l’occasion de ce scrutin, je me suis tout naturellement impliqué dans la campagne de Nicolas Sarkozy, au sein de la section UMP de ma commune.

Par la suite, j’ai poursuivi mon action militante de manière locale aux côtés de notre Maire, Jean-Pierre Schosteck, et de son équipe. Je partage avec eux les valeurs de la Droite Républicaine et la volonté de poursuivre la politique de développement menée depuis plus de trente ans sur Chatillon.

Aussi, avoir l’opportunité d’être candidat sur cette liste d’union est un aboutissement dans mon souhait de m’impliquer dans la vie quotidienne et le développement de ma commune. En effet, la politique, à mon sens, c’est avant tout la proximité: connaitre le terrain, les attentes des citoyens et leurs tracas; C’est aussi, créer un lien de confiance avec la population, quelque soit son milieu ou son origine. C’est, enfin, l’envie d’être l’acteur d’un projet commun.

Croissance, emplois et « made in France »

Par Olivier Bodo, référent Jeunes Actifs à Châtillon

 

Cocorico ! La croissance française au deuxième trimestre a connu un rebond inattendu de 0,5%. Malgré ce sursaut, la prévision pour l’année s’établit à 0,1% bien loin des prévisions extravagantes formulées par François Hollande lors de sa campagne électorale en 2012 (Pour mémoire, ce dernier tablait sur une progression de 1,7% pour 2013 soit une estimation 10 fois supérieure à ce qu’elle sera réellement : la marge d’erreur est tout de même conséquente…).

Cependant, alors que Pierre Moscovici se félicite de ce rebond, Michel Sapin, son homologue au ministère du Travail, fait plutôt grise mine. Il est clair que si la croissance se porte bien au deuxième trimestre, il n’en est pas de même pour le marché du travail. En effet, la destruction d’emplois s’est accélérée sur cette période avec 27 800  chômeurs de plus.

A présent, il semble clair que le gouvernement aura toutes les peines du monde à tenir sa promesse d’inverser la courbe du chômage d’ici la fin de l’année. Il aura d’autant plus de mal que sa politique fiscale pèse de plus en plus sur la compétitivité des entreprises françaises tant au plan national qu’au plan international. Concrètement, le coût de production qui en découle est considérablement alourdi ce qui a un impact important sur le niveau des prix. Pour corroborer cette hypothèse, une étude du Centre d’Études Prospectives et d’Informations Internationales (CEPII) montre que la consommation « made in France » engendrerait, pour les ménages, un surcout conséquent pouvant atteindre jusqu’à 300€ par mois….

De facto, l’économie nationale est confrontée à un cercle vicieux : des charges trop élevées générant un coût de production et donc un prix de vente peu compétitif qui détourne les clients des produits hexagonaux. Ainsi mises en difficulté, les entreprises sont contraintes de rationaliser leur structure pour survivre : en d’autres termes elles délocalisent et licencient tout ou partie de leur personnel.

La conséquence est une dégradation quasi illimitée du chômage et de la compétitivité couplée à une envolée des délocalisations. Ce phénomène se poursuivra inexorablement tant qu’une mise à plat de la politique fiscale visant les entreprises n’aura pas été mise en œuvre par l’État.

Hausse des tarifs de l’électricité – Vers une remise en cause du nucléaire ?

Par Olivier Bodo, référent Jeunes Actifs à Châtillon

 

Une bonne nouvelle pour l’Etat, actionnaire majoritaire d’EDF (84,44%), mais une bien moins bonne pour les ménages français, notamment ceux qui privilégient le tout électrique. Alors que des milliers de vacanciers vont se croiser sur la route, le gouvernement socialiste va procéder en toute discrétion à une nouvelle augmentation des tarifs de l’électricité (+5% au 1er Août 2013). Cette hausse n’est pas seulement une nouvelle atteinte au pouvoir d’achat des ménages c’est aussi la remise en cause de la filière nucléaire.

Tout d’abord, il convient de noter que la double hausse prévue pour 2013 puis 2014 n’est qu’une étape dans une progression qui atteindra 30% d’ici 2016. Si cette hausse représente des recettes supplémentaires pour EDF (et bien entendu des taxes supplémentaires pour l’Etat), cela représente aussi et surtout une nouvelle attaque en règle du pouvoir d’achat des ménages déjà bien mis à mal par les incessantes hausses d’impôts et de taxes en tout genre…

Ensuite, au delà du simple aspect comptable, ne peut on pas y voir une forme de remise en cause progressive de la filière nucléaire française ? Cela représenterait un moyen indirect de rassurer les « amis » écologistes de François Hollande et de s’assurer leur vote à moyen terme. En effet, il est clair que de manière progressive voire insidieuse, les socialistes habituent les français au fait que si l’électricité est chère c’est en raison du nucléaire (et plus précisément du réseau de centrales qui est vieillissant) qui, par conséquent, en plus d’être dangereux pour l’environnement est coûteux pour les ménages….

De fait, le gouvernement nous confronte à « sa » vérité :

–  On procède à une augmentation indécente du prix de l’énergie en expliquant que EDF a des coûts de production élevés. Cette augmentation conduisant nécessairement à l’indignation de la population et à la remise en cause par celle-ci du mode de production.

–  On accuse le nucléaire, mode de production jugé trop cher alors qu’en réalité c’est une technique qui permet de produire de l’énergie à moindre coût !

–  On met en place un plan visant à substituer les énergies renouvelables au nucléaire.

Ainsi, dans ce schéma qui se matérialise peu à peu, les socialistes vont sacrifier la filière nucléaire dans laquelle la France possède un vrai savoir faire au profit des énergies renouvelables dans lesquelles elle est loin d’être leader. Cette démarche n’a, de plus, aucune justification économique dans la mesure où la Cour des Comptes a pointé dans son dernier rapport le coût élevé et la faible efficacité des énergies renouvelables….

Par conséquent, il est temps que les socialistes cessent de brader le savoir faire et les industries dans lesquelles la France est à la pointe pour de simples intérêts électoralistes dont la logique est encore à démontrer (EELV étant loin de créer une vague autour de ses idées !).

Opération collage dans le 92 – L’échec de François Hollande

A l’occasion des 1 an de présidence de François Hollande, l’UMP lançait ce week-end une grande opération nationale de collage pour dénoncer l’échec de la politique du gouvernement sur des thèmes tels que la sécurité, la morale, l’Europe, le pouvoir d’achat, l’emploi ou la croissance.

15 villes des Hauts-de-Seine ont participé et ainsi recouvert les panneaux d’expression libre de leur ville.

Une pensée chaleureuse et sincère pour un des nôtres de Suresnes qui a subi une agression au cours de cette opération. Si cet incident, isolé, est à déplorer, cela n’enlève rien au dynamisme, au militantisme et à l’esprit de reconquête qui caractérisent la fédération des Hauts-de-Seine, 2ème fédération de France de notre parti.

Merci encore à toute les équipes qui ont contribué au succès de cette opération.

Fédération UMP des Hauts-de-Seine

La moralisation de la vie politique – Une affaire de socialistes !

Par Olivier Bodo, référent JA sur Chatillon

      Cahuzac ou le symbole de la probité à la sauce socialiste ! Il est, en effet, vrai que confier la lutte contre la fraude fiscale à un expert en la matière ne manque ni de saveur ni de piquant ! Dans ce contexte, notre président normal s’est trouvé contraint de répliquer aux attaques mettant en danger sa République irréprochable. Il nous a donc concocté un magnifique arsenal confinant à l’inutile et à l’effet d’annonce. Petit tour d’horizon entre cocotiers et liasses de billets :

   Des patrimoines rendus publics et contrôlés (!) par un Haute Autorité créée pour l’occasion et dont les membres seront des élus c’est-à-dire à la fois juge et partie.

­   Des professions interdites aux élus. L’approche est intéressante. Dommage que cela implique qu’à terme seuls les fonctionnaires puissent s’impliquer dans le débat politique. C’est un échec pour la richesse du débat démocratique.

­   De nouvelles entités de contrôle au travers de la création d’un parquet financier. Avant même sa création, nous sommes en droit de nous interroger sur l’indépendance d’une telle institution. Étant placée sous la probable tutelle du Ministre de la Justice, sa marge de manœuvre ne pourra être que limitée voire nulle.

­   Éradiquer les paradis fiscaux. Notre Président se mue en justicier ! Les Iles Caïmans et autres pays à la fiscalité avantageuse sont déjà morts (de peur ou de rire ?!). Arrêtons là le ridicule.

Au final, les quelques mesures proposées ne sont que poudre aux yeux et effet d’annonce. Leur seul avantage pour le gouvernement est qu’elles évitent de poser la seule vraie question : pour quelle raison tant d’individus fraudent-ils l’administration fiscale ? Peut être tout simplement parce que la fiscalité est aberrante.