Les Jeunes UMP ne s’endorment pas durant l’été

Article tiré du Parisien

A.D. | Publié le 12 août 2013, 07h00

Les Jeunes UMP 92 ont décidé de ne pas sombrer dans l’indolence du mois d’août. Ce matin, à l’occasion de la journée internationale de la jeunesse, ils mettent en ligne une vidéo sur « la jeunesse sacrifiée par François Hollande » qui pointe les « promesses non tenues » du président socialiste. Au cours d’un micro-trottoir réalisé au Cnit de La Défense, les Jeunes Populaires ont enregistré des témoignages qui déplorent que le président « ne fasse pas le pari de l’apprentissage » ou ne lutte pas suffisamment contre l’échec scolaire « en supprimant les internats d’excellence, les bourses au mérite pour les bacheliers » ou en « remettant en cause l’autonomie des universités ».

Les Jeunes UMP 92 lancent par ailleurs un concours sur Twitter de la meilleure proposition pour la jeunesse. Trois d’entre elles seront présentées au campus des Jeunes UMP 92 sur l’île de Puteaux, les 31 août et 1er septembre prochain. « Avec les difficultés financières actuelles, l’UMP n’a pas organisé de campus pour les Jeunes Populaires au niveau national. La fédération 92 a donc décidé de le mettre sur pied. Bien sûr à moindre coût, mais nous voulons conserver ce rendez-vous incontournable, affiche Aurélie Taquillain, secrétaire départementale adjointe de l’UMP 92. Nous attendons plus de 500 jeunes de 18 à 30 ans. » En marge du campus, les dons pour le Sarkothon -la quête pour renflouer les caisses de l’UMP après l’invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy- seront vivement encouragés. « La souscription continue jusqu’au 31 septembre », exhorte la responsable des Jeunes UMP 92.

Pourquoi tant de violence ?

Depuis quelques mois, nous nous apercevons d’une recrudescence de la violence en France. Ceci n’est pas sans rappeler, les violences intervenues à la fin de l’année 2005, alors même que Nicolas Sarkozy était Ministre de l’Intérieur. Des voitures brulaient un peu partout en France, et principalement dans certains quartiers. Le Ministre de l’Intérieur avait réussi à mettre fin à cette violence. Il avait su ramener l’ordre public.

Une fois élu, Président de la République, Nicolas Sarkozy avait continué à mener une politique ferme vis-à-vis de ces comportements jugés inacceptables par la société. Ces actes de haine, de mépris et même de peur avaient cessé.

En 2012, avec les socialistes au pouvoir, c’est à nouveau le laxisme qui prédomine et les délinquants l’ont bien compris. Tous ceux qui veulent vivre de petits trafiques et semer la terreur pour développer leur « Business », choississent la France pour créer leur « Entreprise », comme un banquier choisirait Londres pour ses projets investissements.

La France est devenue un pays libre pour les délinquants et attirent tous ceux qui veulent jouer les caïds. Le Président de la République, François Hollande, ne mesure pas du tout l’ampleur de la situation, comme, il n’avait pas mesuré, l’ampleur de la crise financière. Son gouvernement fait semblant d’ignorer l’ampleur des violences actuelles parce qu’il n’a pas de solutions. Ses violences ont commencés à Amiens, cet été, pendant que François Hollande était au « Fort de Brégançon », et elles se poursuivent, avec l’assassinat de deux jeunes près de Grenoble, ou encore, par le démantèelement de cellules terroristes lourdement armés, que l’on disait instrumentalisés par l’ancien Président de la République, depuis l’affaire Mohamed Merah.

A l’approche des fêtes de Noël et de la Saint-Sylvestre, à quels types de violences devons-nous nous attendre ? Est-ce que le gouvernement a mesuré l’ampleur des violences qui se propagent dans le pays, depuis son élection ? Est-ce que le retour de cette vague de violence, n’est pas le fruit d’un retour au pouvoir d’une gauche laxiste et permissive, ou du moins perçu comme tel par les délinquants eux-mêmes ? Est-ce qu’en élisant François Hollande à la Présidence de la République, les français n’ont pas donné aux délinquants, une autorisation de semer le trouble et le désordre dans le pays, voire de tuer, en bande s’il le faut ?

Si aujourd’hui, les français plébiscitent le retour de Nicolas Sarkozy, c’est parce qu’ils ont peur de ce qui risque de se passer, ils ont peur pour leur avenir et l’avenir de leur pays. Les délinquants ont jugé le Président de la République et son gouvernement. Ils ont vu qu’ils n’avaient aucun charisme, aucune autorité, pire encore, aucune volonté de punir les délinquants, pour des raisons purement idéologiques. Ils n’ont aucun souci à se faire en terme de sanction. Ils savent qu’ils ne seront pas punis. La Loi, le gouvernement et les magistrats (c’est à dire, les trois pouvoirs) sont de leurs côtés, avec une gauche au Sénat, à l’Assemblée Nationale et à la Présidence de la République.

Il ne faut s’étonner de voir tant de violences, car c’est ce à quoi nous nous attendions avec l’élection de François Hollande, et c’est la raison pour laquelle, nous avons soutenu la réélection de Nicolas Sarkozy. Il ne faut pas non plus s’étonner que le gouvernement soit inapte à faire face à cette montée de violences qui poursuit lentement, mais surement, son ascension, car ce n’est pas avec son positionnement idéologique qu’il arrivera à endiguer cette vague de violence, malgré tous les efforts de son Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.

Vous ne vous étonnerez pas non plus, que les côtes de popularité de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault, continuent de descendre en flèche, pendant que la courbe des violences faites aux personnes monte.

Finalement, comme nous nous attendions tous et toutes, François Hollande et le gouvernement perdent la main sur, tout petit à petit, que ce soit au sein de la majorité (avec le non au Traité Européen des Verts) ou à l’international (avec le manque de crédibilité flagrante sur la scène internationale), et ceci à quelques mois de son élection. A ce rythme là, François Hollande perdra la main sur le pays et il ne sera plus écouté par les français. Il aura beau faire des beaux discours à la télé, au rythme où vont les choses, dans un an, le pays va être métamorphosé et des ripostes vont commencer, et les appels au calme ne suffiront pas pour stopper des actes de violences qui sont parties pour durer.

Soyez-en sures.

Moi, Candidat de la République…

Nous étions tous, très certainement, devant notre poste de télévision, hier soir pour voir François Hollande, le Président « Normal », nous expliquer comment il allait faire pour sortir la France de la crise « exceptionnelle », qu’il a découvert cet été, alors qu’il passait des vacances au Fort de Brégançon.

Mais, au lieu d’un « Président », nous avons eu droit à un « Candidat ». On se rappelle tous la phrase prononcé une bonne quizaine de fois, lors du débat de l’entre-deux tours le l’élection présidentielle. Le « Moi, Président de la République,… », qui nous a marqué tous. Si Nicolas Sarkozy s’est véritablement révélé comme le Président de la République, quand est arrivé la crise financière. L’ironie, est que François Hollande, même élu, restera un éternel candidat, incapable de prendre des responsabilités et toujours enclin à faire des promesses.

Il nous dit que dans deux ans, la crise sera passé. Une promesse de plus. Claire Chazal aurait certainement dû lui demander que ferait-il si, dans deux ans, les mesurettes du gouvernement ne fonctionnent pas ? Que fera le « Candidat de la République » ? Une nouvelle série de promesses peut-être.

A moins que tout ceci n’est pas destiné à redresser l’économie de la France, mais, uniquement à faire remonter sa côte de popularité. Il nous a parlé de taxer à 75% tous les revenus au-dessus de 1 million d’euros, au nom du patriotisme économique. Cette mesure « exceptionnelle » ne doit durer que 2 ans, le temps de redresser l’économie française. Le patriotisme en France, ne dure pas plus de deux ans.

Quand les socialistes commencent à faire du nationalisme, déguisé en patriotisme, on doit s’attendre au pire.

Et si, Nicolas Sarkozy avait eu raison ? Nous, on le savait déjà. Nous n’avons pas besoin de lire les unes des magazines qui ont fait de l’anti-sarkozisme pour le savoir. On l’a toujours su…

Grande Mobilisation le 1er Mai 2012 à 14h au Trocadéro, pour la Fête du Travail

Vous avez été nombreux à nous rejoindre à la Fédération des Hauts-de-Seine, en ce lundi 23 avril pour un debriefing sur les résultats du 1er tour, autour de Roger Karoutchi, Sénateur des Hauts-de-Seine, et de nombreux élus du département.

Nous étions plus nombreux que prévu. Nous avons fait salle comble et nous tenons à remercier tous les militants, sympatisants et citoyens français qui nous ont rejoint, parce qu’ils ont conscience, qu’après les résultats du 1er tour, tout est possible.

Il y a quelques mois, tous les sondages prévoyaient un écart plus important et un désintéressement massif des français pour ce scrutin. Nous leur avons donner tort. Les Français se sont mobilisés en masse (à plus de 80%) pour montrer qu’ils aimaient leur patrie, qu’ils aimaient la France et qu’ils ne sont pas prêts à l’abandonner à un parti démagogique et sectaire.

Il y a quelques mois, Nicolas Sarkozy n’était même pas censé être au second tour de la présidentielle. Les français ont montré grâce au scrutin du 22 avril, qu’ils aimaient leur Président. Les français ont montré grâce au scrutin du 22 avril, qu’ils soutenaient son action. Les français ont montré grâce au scrutin du 22 avril, que Nicolas Sarkozy n’était pas seul, mais que ses idées étaient partagées par un grand nombre d’entre eux.

Il y a quelques mois, l’écart entre François Hollande et Nicolas Sarkozy devait être très important. Il n’est que de 1.5 point. Le candidat de la gauche ne dépasse pas les 30% de suffrages, et son accolite, Jean-Luc Melenchon, est quatrième, avec 11 % des voix exprimées. Alors, aujourd’hui, plus que jamais, tout est possible, car le vote des français, a montré que nous sommes un grand nombre à aimer notre pays, nous sommes un grand nombre à aimer notre patrie, nous sommes un grand nombre à aimer la France.

Alors, nous appelons tous les français à venir chanter la Marseillaise avec nous, le 1er Mai 2012, au Trocadéro à 14h.

Venez soutenir le candidat qui est le seul à vouloir une France plus forte. Une France qui produit, une France qui fabrique, une France qui se développe, et une France qui protège ses citoyens, qui protège ses atouts, et qui protège ses frontières, car tout ceci n’est pas incompatible.

Venez soutenir le candidat qui est le seul à vouloir une Europe plus forte. Une Europe qui protège sa monnaie face aux marchés financiers, qui protège les économies de ses états-membres.

Venez dire non, à ceux qui, faute d’avoir le vote populaire, veulent instaurer le vote communautaire, en donnant le droit de vote aux étrangers.

Venez dire non, à ceux qui organisent 3 débats, pendant les primaires pour 5 millions de français, et refusent de débattre plus d’une fois pour 45 millions de français.

Venez dire non à Jean-Luc Mélenchon, qui appelle ses électeurs à voter pour celui, qu’il a lui-même qualifié de capitaine de pédalo. C’est dire à quel point, il les prend pour des idiots.

Rejoingnez-nous pour

un Grand Rassemblement Patriotique

au Trocadéro,

Mardi 1er mai 2012 à 14h,

pour fêter le travail, l’emploi, la solidarité et la patrie.

Le pédalo, c’est chaud, surtout quand la mer est agîtée. Le Titanic, c’est chic, mais vous connaissez la fin tragique (même si les icebergs sont beaucoup plus visibles en mer agîté, qu’en mer calme).

Nous voulons d’un Président, qui ne nous mène pas en bateau.

Quand on aime sa patrie, c’est Sarkozy,

Quand on y réfléchit, c’est Sarkozy.

Venez nombreux.

Ce que les observateurs ne disent pas ou pourquoi Nicolas Sarkozy peut gagner ?

Depuis dimanche 22 avril 2012, 20h00, tous les médias ont repris du service pour mobiliser les électeurs pour le second tour. Il en va de pronostics, de sondages et de suppositions pour montrer la faiblesse de la droite et la force de la gauche. Nous avons tout entendu. Tout ? Pas vraiment…

Nicolas Sarkozy a proposé dès le soir du 1er tour au candidat socialiste de faire trois débats. François Hollande a aussitôt ironisé en proposant, pourquoi pas 6 ou 7 débats. En répondant ainsi, il s’est enfermé dans un cercle où il concentre tout sur un seul débat. Il a même refusé qu’un deuxième débat se fasse à la radio, alors même que 4 radios l’on proposé.

Or, Nicolas Sarkozy, est celui qui a tout à y gagner à ne faire qu’un débat.

1) Il n’est pas le favori des sondages, donc il n’a pas la pression d’être en tête et d’être humilié s’il perd. Il peut donc y aller serein.

2) Les français préfèrent les « petits » candidats, comprenez ceux qui peuvent perdre. Regardez Philippe Poutou qui attire de la sympathie malgré son programme, ou encore le club de football de Quevilly. Donc quelque soit le nombre de débats, la propagande socialiste enlève un poids à notre candidat.

3) Si François Hollande attaque Nicolas Sarkozy sur son bilan, il faudra qu’il aborde à son tour, son propre bilan. Et à défaut d’avoir un bilan comme ministre, il faudra qu’il parle de son bilan en tant que Député et Président du Conseil Général de Corrèze.

4) Si François Hollande attaque Nicolas Sarkozy sur son programme, il faudra qu’il aborde à son tour son propre programme, qui prévoit de donner le droit de vote aux étrangers, la suppression du quotient familial, la taxation à 75% des hauts revenus, etc…

5) François Hollande a le soutient de 700 mosqués, qui ont appelé à voter pour lui. C’est un hadicap de plus pour sa crédibilité en tant que Président de tous les français, alors même que les français ont toujours voulu séparer l’église et l’Etat.

6) François Hollande a fait un discours devant les Francs Maçons en novembre 2011 et les observateurs n’en parlent pas. Les journalistes se taisent, car ceci montre bien que le PS fait une politique clientéliste.

Si François Hollande refuse le débat, lui qui a tant à dire sur Nicolas Sarkozy, c’est qu’il est conscient des difficultés auxquelles il doît faire face. Il devance son adversaire d’un point et demi et il sait que son principal « allié » n’est qu’à la 4ème place. Encore faudraient-ils, qu’ils soient convaincus par celui qu’ils considèrent comme le « Capitaine de Pédalo ».

Alors les observateurs, pour ne pas faire ce constat, se concentre sur les voix de Marine Le Pen et spéculent sur les législatives, les triangulaires, et font mine de minimiser les difficultés du Parti Socialiste à aborder le deuxième tour avec sérénité.

Les socialistes ont pris conscience que ce n’était pas gagné et que leur candidat, pour ne froisser personne, ne fera rien pour leur faire gagner des voix. Les observateurs spéculent sur le report des voix du Front National ou du Modem sur Nicolas Sarkozy. Ils spéculent peu sur le report des voix de ceux qui sont déçus d’avoir voter au premier tour pour François Hollande. Car lui, comme les huits autres candidats, ont porté le vote contestataire.

Il y a eu au premier tour, un candidat, contre 9. Ils sont maintenant à 1 contre 1. François Hollande est aujourd’hui seul face à Nicolas Sarkozy, et il n’est plus aussi sûr de lui. C’est que les français commencent à se demander s’ils doivent rigoler de ses petites blagues ou rigoler de lui.

Nicolas Sarkozy aborde le second tour en toute sérénité, alors que François Hollande se dit maintenant que « jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien… » et repousse le débat le plus possible.

Debriefing du 1er Tour – Lundi 23 avril

Dimanche 15 avril 2012Bonjour à tous,

La fédération UMP des Hauts-de-Seine vous convie à une soirée débriefing du 1er Tour lundi 23 avril 2012 dans les locaux de la fédération, sis au 97 avenue Achille Peretti à Neuilly-sur-Seine.

Parce que la mobilisation continue quelque soit le résultat du 1er Tour ;

Parce que notre candidat a besoin de tout notre soutien dans cette phase finale de l’élection ;

Parce que le Président de la République compte sur chacun de nous pour l’aider à gagner cette élection présidentielle ;

Parce que notre pays a besoin d’un Président qui soit capable de faire des réformes justes et ambitieuses, afin d’être plus comptétitif ;

Parce que nous voulons une France Forte, qui soit capable de protéger ses citoyens de la crise financière ;

Parce que nous voulons que les français aient des valeurs communes et non opposées ;

Parce que nous voulons défendre l’égalité et non l’égalitarisme, la liberté, la laïcité et la solidarité, pour plus de justice ;

Nous avons besoin de votre mobilisation. Rejognez-nous dès 19h à la Fédération UMP de Neuilly-sur-Seine, lundi 23 avril, pour un afterwork, en présence de Roger Karoutchi, Sénateur des Hauts-de-Seine, et de nombreux élus du département, pour un échange, pour débattre, pour commenter, et discuter, autour d’un verre et un buffet.

A tous les militants, nous vous remercions pour l’énergie que vous avez fourni depuis le début de la campagne, et même avant, et nous espérons de tout coeur, que vous pourrez être présents.

Venez nombreux.

Grand Rassemblement autour de Nicolas Sarkozy, Dimanche 15 Avril 2012

Toutes nos équipes se mobilisent pour le grand rassemblement autour de notre candidat à l’élection présidentielle, afin que la France soit forte.

Nous devons être uni pour dire non à la gauche démagogique, non à la gauche molle, qui veut démotiver les plus méritants et qui cherche à dissoudre le peuple français.

Nous devons dire non à François Hollande et tout son clan, qui veut taxer plus, toujours plus, sans baisser les dépenses qui rameneraient nos comptes à l’équilibre. Beaucoup de candidats se ralient à François Hollande, car ils ont peur de la gauche. La gauche fait peur, car une victoire, les placerait en position de dictateur, d’un pays à la dérive, avec le Sénat, les magistrats, et maintenant, le quinquennat.

La gauche monopolise la parole et multiplie ses candidats pour augmenter son temps de parole. mais, ne vous méprenez pas, ces candidats ne se ralient pas. Ces candidats ont toujours fait partie du clan de François Hollande.

Seule, la droite est unie dans cette élection présidentielle.

Nous devons soutenir Nicolas Sarkozy, car il est le seul à avoir un discours de vérité et à défendre les valeurs de la République. Regardez tous ces parties, soit disant républicains, qui veulent supprimer le 14 juillet et donner le droit de vote aux étrangers.

Alors, nous comptons sur vous pour dire non à la dictature de la gauche, non à la dictature des corps intermédiaires, non à tous ceux qui veulent détricoter la France, qui veulent la diviser pour mieux régner sur des communautés disparâtres. Nous devons dire non à la dissolution du peuple français.

Nous comptons sur vous, dimanche 15 avril à 14h00, pour le Grand Rassemblement, à la Place de la Concorde, pour soutenir Nicolas Sarkozy.

Venez nombreux !